dimanche 27 décembre 2015

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mardi 21 août 2012

La Nasa a annoncé qu'elle enverrait un nouveau robot sur la planète rouge en 2016


ESPACE - Après avoir arpenté la planète grâce à Curiosity, Insight devra en étudier les profondeurs lors d'une nouvelle mission prévue pour septembre 2016...


 

La Nasa ne perd pas de temps. Seulement deux semaines après le lancement de Curiosity, voilà une nouvelle mission. L’objectif: déterminer comment la Planète rouge s’est formée, et découvrir «pourquoi elle a évolué de façon si différente de la Terre» ont expliqué lundi les scientifiques.

 

Contrairement à Curiosity, qui doit, au cours de sa mission de deux ans, vérifier si Mars n'abrite pas des traces de constituants de la vie autre que l'eau recherchée lors des précédentes missions, le nouveau petit robot baptisé Insight devra explorer le cœur de la planète pour déterminer s’il est solide ou liquide, et tâcher ainsi d’en savoir plus sur l’évolution des planètes rocheuses.

 

«Mars a-t-elle une structure sismique active? J’ai vraiment hâte de le savoir», a déclaré lundi John M. Grunsfeld, le directeur des missions scientifiques de la Nasa.

 

Atterrissage prévu en septembre 2016

 

Le nouveau robot, dont l’atterrissage est prévu en septembre 2016, ne sera pas mobile. Il sera conçu en Californie comme Curiosity, mais à bien plus faible coût: 425 millions de dollars, contre 2,5 milliards pour Curiosity.

 

La mission sera réalisée en collaboration avec le Centre national d'études spatiales (CNES) en France, qui fabriquera un outil de mesure des mouvements sismiques.

Source: 20minutes.fr

[caption id="attachment_12991" align="aligncenter" width="601"] Après Curiosity, InSight se rendra sur la planète Mars[/caption]

 

dimanche 19 août 2012

Le mystère du caveau de la famille Chase

Cette histoire se déroule au 19ème siècle, à La Barbade, au cimetière de Christ Church pour être plus précis. Depuis un peu moins de 200 ans, plus aucun mort n'y est enterré, mais nombreux sont les touristes qui font le déplacement pour voir de leurs yeux ce cimetière où les cercueils ne semblent jamais devoir reposer en paix.


Nous sommes en 1807. Une riche famille de planteurs, les Walronds, fait construire un caveau percé dans la roche. Une dame, nommée Goddard, y sera enterrée, mais, bien vite, le caveau est revendu à la famille Chase qui cherche un endroit de recueillement où pourrait reposer Mary Ann Chase, une fillette à peine âgée de deux ans qui est morte dans des circonstances inexpliquées par la médecine de l'époque.

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Cinq ans plus tard, Dorcas, sa grande sœur décède. La rumeur fait le tour de l'île : elle se serait laissée mourir de faim pour ne pas devoir subir les outrages de son père. Un mois plus tard, c'est au tour de ce dernier de mourir inopinément. C'est lors de son enterrement que la légende de la crypte hantée va prendre corps.

Les esclaves désignés pour descendre le cercueil dans le caveau obéissent et descendent, à huit, pour porter le lourd cercueil de plomb. Alors que le dernier vient à peine d'entrer la tête dans la sépulture, tous les bonshommes ressortent en hurlant et disparaissent sans plus jamais montrer signe de vie.

Le pasteur de Chris Church décide alors de descendre dans le caveau. Le spectacle qui s'offre à lui est inimaginable. Les cercueils des deux petites filles ont été déposés, tête en bas, dans un coin du caveau tandis que la première 'propriétaire des lieux, est posée au centre de la pièce.

L'homme d'Église fait remettre les cercueils en place, impose le silence aux personnes venues lui prêter main-forte et fait reposer la lourde pierre de marbre fermant la tombe.

Quatre années plus tard, un autre membre de la famille décède. La pierre est retirée. Le pasteur descend en premier et doit se rendre à l'évidence : les cercueils ont été à nouveau déplacés. Quant au cercueil de plomb, il a été littéralement projeté sur les parois du caveau.

Le défunt du jour est placé à l'endroit prévu tandis qu'on remet les autres bières en ordre. Le chef de la police décide de s'en mêler et affirme que de mauvais plaisantins ne viendront pas mettre du désordre sur son territoire. Une fois les corps réinstallés pour qu'ils puissent reposer en paix, il exige que la dalle soit reposée, que les systèmes de levage soient retirés du cimetière et que du ciment vienne sceller l'édifice. Mais cela ne suffira pas.

Quelques mois plus tard, alors qu'une nouvelle mort mystérieuse vient frapper la famille, des phénomènes étranges se produisent à nouveau. La pierre est descellée. Mais les douze hommes prévus pour soulever la dalle de 450 kilos n'arrivent pas à la bouger d'un centimètre. Une grue de fortune est construite. Les cercueils en plomb ont été projetés avec une telle violence sous la dalle qu'ils s'y sont imbriqués, rendant le poids encore plus important.

Le constat est sans appel, ce sont les cercueils en plomb, utilisés pour ralentir la putréfaction des corps, qui sont visés. On fait appel à un exorciste qui ne peut rien faire.

Un nouveau décès intervient et, comme à chaque fois, c'est le même spectacle de désolation qui s'offre aux personnes venant sur place.

De plus en plus de monde aux enterrements

La rumeur a enflé et un tourisme bien macabre s'est installé. À tel point que les autorités locales ont décidé de retirer tous les cercueils du caveau et de les enterrer séparément à des endroits différents. Officiellement, c'est parce qu'il n'y avait plus de place dans le cimetière. Officieusement, nombre de personnes estimaient que la famille Chase était frappée par le mauvais œil.

En 1820, il est décidé d'abandonner le cimetière à ses occupants. Depuis, de nombreux témoins évoquent des bruits étranges émanant du caveau, mais plus personne n'est assez fou pour aller y jeter un œil. Il faut dire que la tradition locale regorge d'anecdotes sur les causes de ces phénomènes paranormaux.

Certains pensent que c'est la première occupante qui n'a jamais accepté d'être perturbée dans son sommeil par des étrangers. D'autres y voient un signe de Dieu qui ne voit pas d'un bon œil l'utilisation de plomb pour contrer le processus normal de la vie et de la mort.

Une chose est certaine : tous s'accordent à dire que les Chase n'ont jamais pu trouver le repos éternel et que si des bruits sont entendus aujourd'hui, c'est parce qu'ils réclament justice...

Source: .rtl.be

Les crânes de cristal n’empêcheront pas la fin du monde

Moins célèbres que le calendrier Maya dont on ne sait plus s’il prédit ou non la fin du monde pour le mois de décembre prochain, les crânes de cristal mayas risquent fort, eux aussi, de ne pas survivre à l’abnégation des scientifiques du monde entier. Pourtant, ils étaient porteurs d’espoir pour bien des gens.




L’histoire commence au début du siècle dernier. Un explorateur du nom de Mitchell-Hedges découvre, à proximité d’un temple maya, un crâne de cristal de plusieurs kilos. Très vite, la découverte est relayée sur la planète et le crâne rejoint Londres. Les scientifiques se succèdent. Cette création maya est tout bonnement impossible. Avec les outils de l’époque, il aurait fallu plus de 1600 ans pour façonner ce crâne.

Une réflexion de la lumière étrange finit de conférer à ce crâne des origines extraterrestres. Les gens se précipitent. Une sportive affirme qu’après avoir regardé le crâne droit dans les yeux, elle a guéri d’une tumeur. D’autres retrouvent des inscriptions mayas et y voient des pouvoirs surnaturels accordés au crâne. Un chaman pourrait ainsi tuer ses ennemis à distance.

Très vite, d’autres crânes apparaissent. On affirme qu’ils sont d’origine extraterrestre. Ils seraient au nombre de 13 et proviendraient des 13 mondes qui ont précédé la Terre, la cadette des planètes habitées. On ne peut s’empêcher de les lier au calendrier maya qui nous prédit une fin tragique pour cette année. Sauf…

Sauf si des personnes bien intentionnées arrivent à réunir les treize crânes. On pourra alors y lire les origines de l’humanité et éviter que celle-ci ne soit réduite en poussière.

Il n’en faut pas plus pour que les grands musées du monde entier se les arrachent. Ils poursuivent leurs analyses, se prêtent l’un ou l’autre exemplaire. Le silence qui suit les découvertes faites par les experts ont le don de dynamiser les croyances diverses et variées nous prédisant tantôt la fin du monde tantôt le moyen de l’éviter. Pourtant, c’est d’Allemagne que l’information la plus surprenante va nous arriver.

De la famille Peutser plus précisément. Les descendants de tailleurs de pierres précieuses et semi-précieuses affirment en effet avoir les preuves que leurs ancêtres pas si lointain que cela puisqu’on parle de trois-quatre générations tout au plus seraient à l’origine de ses crânes de cristal. Pour étayer leurs preuves, ils produisent des documents qui montrent que leurs aïeux ont immigré du Brésil et de Madagascar vers le milieu du XIXe siècle. De plus, cette région teutonne possède depuis la nuit des temps les techniques nécessaires pour tailler, polir et façonner des objets d’art exceptionnels en soi, mais qui n’ont rien de surnaturel…

Source: rtl.be

vendredi 17 août 2012

Panorama à 360 ° de Curiosity

[caption id="attachment_12963" align="aligncenter" width="599"] Vue de Mars depuis le cratère Gale. © NASA/JPL-Caltech/MSSS[/caption]

 


Mars Panorama - Curiosity rover: Martian solar day 2 in New Mexico

Une étude remet en question la théorie du métissage humain de Neandertal

Il y a quelques années, des études avaient supposé que Homo sapiens s'était métissé avec l'homme de Neandertal. Aujourd'hui, des chercheurs britanniques démentent.




Nos ancêtres Homo sapiens et l'énigmatique homme de Neandertal ne se sont peut-être pas croisés, physiquement et génétiquement, autant qu'ont pu le laisser penser les gènes communs aux deux espèces récemment mis en évidence, estiment des chercheurs britanniques. Ces deux dernières années, plusieurs études avaient en effet suggéré que Homo sapiens avait dû se reproduire occasionnellement et se métisser avec Neandertal, un cousin du genre Homo apparu voici plus de 350 000 ans et ayant vécu en Europe, en Asie centrale et au Proche-Orient avant de s'éteindre il y a quelque 30 000 ans. Selon ces études, fondées sur l'analyse d'ADN fossile, les populations modernes d'origine européenne et asiatique partagent en moyenne 1 à 4 % de leur génome avec celui des Néandertaliens, mais pas celles d'origine africaine. Une découverte datant de 2010 avait laissé penser que ce transfert génétique s'était probablement produit à la faveur de croisements entre les deux espèces, lorsque les premiers Homo sapiens avaient quitté l'Afrique et rencontré les hommes de Neandertal au Proche-Orient avant de coloniser l'Eurasie.

"Ces fragments d'ADN en commun ne prouvent rien"


Dans une nouvelle étude publiée par la revue de l'Académie des sciences américaine PNAS, deux scientifiques de l'Université britannique de Cambridge estiment que ces fragments d'ADN en commun ne prouvent rien. Selon eux, cet ADN partagé serait plutôt l'héritage génétique laissé aux deux espèces par leur ancêtre commun, et non pas le fruit d'accouplements ou d'un processus d'hybridation entre néandertaliens et sapiens. Pour le démontrer, Andrea Manica et Anders Eriksson ont conçu un modèle informatique capable de simuler l'odyssée génétique des deux groupes d'hominidés. Cela commence avec les ancêtres communs aux deux espèces qui vivaient voici quelque 500 000 ans dans certaines régions d'Afrique et d'Europe. Puis, il y a environ 300 000 à 350 000 ans, les populations européennes et africaines de cet ancêtre commun se séparent.

Continents


Isolée génétiquement, la branche européenne aurait graduellement évolué pour aboutir aux néandertaliens, tandis que de son côté la branche africaine finissait par devenir Homo sapiens, l'homme anatomiquement moderne aussi connu en Europe sous le nom de "Cro-Magnon", qui a quitté l'Afrique par vagues successives entre 60 000 et 70 000 ans avant le temps présent. D'après cette théorie, les communautés de sapiens géographiquement proches de l'Europe, en Afrique du Nord par exemple, auraient conservé une part plus importante du génome de leur ancêtre que ceux vivant plus au sud du continent. Ces populations d'Afrique septentrionale auraient aussi été les premières à coloniser l'Eurasie, ce qui expliquerait pourquoi les Européens et les Asiatiques modernes présentent cette similarité génétique avec les néandertaliens, mais pas les Africains. "Nos travaux montrent clairement que les structures découvertes dans le génome de Neandertal ne sont pas exceptionnelles et qu'elles correspondent à ce qu'on s'attend à trouver sans hybridation", assure Andrea Manica dans un communiqué. "Donc, si hybridation il y a eu - il est difficile de prouver que cela n'est jamais arrivé -, le phénomène a été minime et bien moindre que ce qu'on affirme actuellement", ajoute le chercheur.

Source: .lepoint.fr

 

Découverte d’une «super-maman» d'étoiles

Le télescope Chandra X-Ray de la NASA a découvert une «super-maman» cosmique, qui donne vie à plus d’étoiles en un jour que notre galaxie en une année.


[youtube]http://www.youtube.com/watch?v=ovR8eGaksnI[/youtube]

Il s’agit d’une galaxie gigantesque et extrêmement distante, 5,7 milliards d’années-lumière, capable de créer 740 nouvelles étoiles par an. Notre Voie Lactée en produit une par an, selon le site du Daily Mail.

Elle se trouve au centre d’un groupe de galaxies récemment découvert et est de loin la plus grande création d’étoiles que les astronomes ont jamais observée.

Ce qui chiffonne les scientifiques, c’est qu’une galaxie de ce type, de cette taille et de cet âge ne devrait pas enfanter à une telle rapidité, selon une étude parue dans le journal Nature.



«C’est un phénomène très extrême», a expliqué Ryan Foley, astronome à l’Université d’Harvard et co-auteur de l’étude. «Cela repousse les frontières de ce que nous connaissons.»

Son ancienneté pose particulièrement question (6 milliards d’années). Normalement, ce genre de galaxies ne produit rien de nouveau. «Elle semble être revenue à la vie pour une obscure raison», a déclaré l’auteur principal de l’étude, Michael McDonald, du Massachusetts Institute of Technology (MIT).

C'est pourquoi les chercheurs l’ont baptisée «Phoenix», du nom de l’oiseau mythologique qui renaît de ses cendres.

Source: tdg.ch